« Je souffre tant d’avoir perdu ma mère / mon père ! »
Le chagrin est toujours grand même si l’âge ou les circonstances médicales laissaient penser qu’un décès était probable. Quand un parent décède, on se sent toujours orphelin et abandonné quel que soit son âge et le notre. Il est bon de trouver à qui en parler.
« J’ai l’impression d’avoir maintenant un nouvelle charge sur les épaules ! »
Devenir aîné(e) de la famille, se sentir responsable de l’histoire de sa famille, peut rendre inquiet(e). C’est aussi aider à accepter son nouveau rôle et à accueillir cette nouvelle étape de développement.
« Qui va partager avec moi son souvenir ? »
Les cérémonies de commémoration (funérailles, dates anniversaire) sont riches du bonheur d’être ensemble (famille et amis) autour de la mémoire de l’être disparu, même si on est peu nombreux. Il faut profiter de ces temps très constructifs pour retisser les liens et faire vivre la mémoire de toute la famille à travers celle du défunt.
Toutes ces occasions de commémorations inscrivent dans le cœur de chacun le parent disparu. Ainsi, il peut prendre sa place en tant qu’ « ancêtre ».